• La maison de l'écrivain

    Un livre publié aux éditions D'un Noir Si Bleu, désormais épuisé.

    Un autre réédité en 2024 par les éditions Carmina.

     

    Réédition

    en 2024 par les éditions Carmina,

    pour en savoir plus, cliquez là.

     

    La maison de l'écrivain

     

    Un hommage à Arnolds Apse, écrivain letton :

    La maison de l'écrivain

     

     

    Certaines rencontres sont

    vraiment déterminantes.

     

    La maison de l'écrivain

     

     

     

    Il me reste quelques exemplaires

    de l'édition originale, introuvable en librairie, épuisée.

    Oui, vous pouvez la retrouver dès à présent.

     

    À compter de 2008
    le livre était vendu sous jaquette couleur :



     

     

    Il suffit de me demander un exemplaire,

    en PDF

    ou en version papier.

     

    Ainsi pourrez-vous lire à nouveau ces dix nouvelles.

     

    Transport épique

    Le Cimetière

    Le Rossignol de la Tête d'Or

    La Carte postale

    Ongles laqués

    L'École de la rue de la Liberté

    Beignets et polenta

    Lucas et Phil

    Le Vélo de voyage

    La Maison de l'écrivain

     

    Publié en 2007 aux éditions D'Un Noir Si Bleu,

    dans la collection Traverses,

    le recueil fait 165 pages et le livre 18 cm de haut.

     

    Vous ne pouvez hélas plus le commander en librairie,

    mais chez moi, OUI !

     

    « Allez, entre ! », répétait Daugava, ses couettes de blé dénouées, bâillant encore. Je rejoignais sans hésiter le royaume de leurs odeurs combinées, cette pièce commune dans laquelle ils s'étaient inextricablement entassés... J'étais fille unique : le mystère des familles nombreuses contribuait à me rendre cet univers formidable.

    Humour, cocasserie, gravité, poésie...

    Écriture trempée dans les sons, les odeurs, les couleurs et les sensations...


    Les nouvelles d'Anne Poiré, qu'elles mettent en scène les aléas de la famille nombreuse, le mystérieux phénomène de la gémellité ou la solitude de l'enfant unique, nous livrent de merveilleux fragments d'enfance – la sienne, la nôtre –, traçant ainsi la géographie d'une enfance universelle, territoire de l'anecdotique et de l'inoubliable, où s'écoulent ces heures irremplaçables pendant lesquelles l'être adulte se façonne et s'édifie.

    écrivait alors l'éditeur.

     

    Si vous avez envie de retrouver cet univers,

    n'hésitez pas, contactez-moi.

    La maison de l'écrivain - ÉPUISÉ

     La presse en a parlé...

    Livre et Lire juin 2007

     le journal de l'arald :

     

     

    Loire-Magazine n°63 -

    Mai/juin 2007

     

     

    Le journal La Renaissance du 9 février 2007 :

    Un article signé P-F. Chetail 

     

    Mon site de l'époque

    parlait là

    de ce recueil.

     

    Et vous, Lecteurs ?

    Etienne :

    J'ai donc éprouvé beaucoup de plaisir à la lecture de ces dix nouvelles. Des bribes d'existence arrachées à l'oubli, qui tout comme les tombeaux parcourus par Hugo et sa sœur, la narratrice de "Le Cimetière", constituent un plaisant patchwork... un kaléidoscope, pour reprendre le titre de la polyphonie composée par la narratrice de "Lucas et Phil", des sensations fugaces, des petits riens, des joies, des misères enfantines, des anecdotes truculentes et même un acte manqué dans "Le Vélo de Voyage" que Babette n'emmènera jamais en vacances. (La Citroën familiale ne pouvant la contenir, contrairement à la Simca et à la Deux-Chevaux de "Transport épique", dans lesquelles tout finit par rentrer !)

     

    Les jeunes héroïnes de tes récits me semblent se correspondre sur un point précis : elles sont à la recherche de "parents de
    substitution", ou du moins fréquentent des personnes, souvent originales, extérieures au cercle familial. Ces mentors éveillent l'enfant à des réalités inattendues, colorant un quotidien perçu comme sclérosant. C'est le renfermé parrain Arthur, auquel la
    narratrice de "Le Rossignol de la Tête d'Or" est confiée par un père indifférent, la délurée cousine Volubilis dans "Ongles Laqués", le maître d'école participant de l'éveil littéraire de la narratrice dans "L'Ecole de la rue de la Liberté", la volubile Madame Bellateloni et ses inventions gustatives dans "Beignets et polenta", les différentes familles d'accueil dans "Lucas et Phil", l'inénarrable famille Latvija dans "La Maison de l'écrivain".

     

    La nostalgie du passé perdu se repercute d'un texte à l'autre, éveillée par les deuils : le décès du frère Hugo, celui de la mère
    dans "Le Rossignol", du père dans "La Carte postale", de la tante et du père dans "L'Ecole", du grand-père dans "Beignets et polenta", arrestation du frère Phil anticipant celui du neveu Lucas dans la nouvelle éponyme... Partout le temps s'enfuit, les jours s'en vont et seuls demeurent les souvenirs, une carte, un manuscrit... autant de madeleines renvoyant au Paradis perdu, recherché, parfois retrouvé, ou finalement préservé, tel le palimpseste qu'à la toute fin de la dernière nouvelle, la narratrice hume religieusement sans oser déflorer.

     

    Où qu'elles aillent, tes petites héroïnes ne sont jamais rejetées, mais au contraire l'objet de toutes les attentions. Jamais porte ne se ferme ou ne demeure close devant ces intrépides fillettes, éternellement fascinées, jamais traumatisées. On pourrait en déduire une lecture psychanalytique... En tout cas, cela donne envie de questionner l'auteur au sujet de ses propres relations envers ses parents !

     

    Un grand nombre de scènes auront sans doute provoqué en chacun de tes lecteurs un genre d'écho délicieux et mélancolique. A travers le traitement de l'anodin, du particulier, tes anecdotes renvoient à l'universalité de l'enfance, et chacun, tirant un personnel parallèle par rapport à tes lignes, se sera souvenu de la tante excentrique, du jouet favori, de la jambe cassée du grand frère, du départ en vacances... qui est le lot de toute jeunesse. Les intimes secrets s'accumulent dans ces caractères en gestation.

     

    Jean-Bertold :

    Durant ces dernières semaines j'ai lu avec délice vos nouvelles, pas plus d'une par soir. Ce genre de texte se déguste. J'y ai pris un très grand plaisir et je crois être rentré pour de bon dans votre monde que j'avais commencé à découvrir lors de notre prix de la nouvelle. Ce qui me frappe le plus dans vos nouvelles c'est cette atmosphère si particulière, je pense notamment à mes deux nouvelles préférées :" Le rossignol de laTête d'Or" et "La maison de l'écrivain".
    Quelle délicatesse que ce "Rossignol" je peux dire que je me suis promené par un matin frisquet avec mon Oncle Arthur dans ce parc, il y avait aussi une petite fille bien présente avec ses cabrioles. Quant à la maison de l'écrivain , j'en connais tous les recoins ..
    Que j'aime cet impalpable dans ce que vous écrivez.
    Recommencez vite!

     

    Roselyne :

    On voit que vous êtes faites pour écrire. 
    On croit que vous avez tout dit, et puis non, ça repart, et vous écrivez encore autre chose... 
    et on continue à vous suivre...

     

    Anne :

    Ce qui est fascinant, c'est ce jeu de cache-cache, entre toutes ces enfances, rêvées, inventées ou vécues...

     

    Christine :

    Je termine à l'instant ton livre de nouvelles... Jolie traversée ! Avec des
    points d'amarrage forts dans chaque histoire. Des petits points d'amarrage,
    enfin qui m'ont amarrée : une écharpe, une odeur de sauce tomate, une main
    sur une épaule, une petite fille qui fait pipi dans l'herbe, le bruit d'une
    machine à écrire. Avec, pour enrober tout cela, une écriture très charnelle
    et très charnue. Pas étonnant que celle qui m'a donné le plus l'eau à la
    tête soit "Beignets et polenta"...

     

    Je ne regrette pas le voyage. J'ai
    l'impression au passage d'avoir pris trois kilos, tant ton écriture est
    gourmande !

     

    Youri :

    Votre livre m'intéresse car j'y trouve une écriture de l'intime qui ne parle pas de votre intimité, mais de l'intimité de chacun de vos lecteurs. À chaque page on a envie de s'exclamer, "ça sent le vécu", le mien, MON vécu ! Et il en va ainsi certainement de tous ceux qui vous apprécient.

     

     

    Christelle :

    Ah ces nouvelles ! Cela fait deux fois que je les lis et pourtant au début ce n'était pas
    mon intention, non, j'avais commencé par lire une nouvelle chaque soir, dans mon lit, au chaud et
    ainsi je ne le dévorais pas .. je savourais chaque page comme un bon gâteau en me disant "demain j'en lirai une autre, et après-demain encore une ..."
    En fait, j'ai tenu 3 soirs et après j'ai tout lu, en boulimique.
    Tu me demandais laquelle je préférais..... j'ai adoré "Le Rossignol de la Tête d'Or" , pourquoi ? I don't know ..
    Mais ce n'est pas "ma préférée", car "la Carte postale" m'a émue aux larmes, "Ongles laqués" et "Beignets et polenta"
    m'ont secouée et en même temps fait beaucoup rire .. et puis "l'Ecole de la rue de la Liberté" et "La Maison de l'écrivain"
    m'ont profondément touchée également. En fait je crois que dans chacune de tes nouvelles, ou presque .. j'ai retrouvé une part
    de mon enfance et donc forcément je me suis en quelque sorte un peu calquée au personnage ..
    Il y a quand même un anachronisme qui me perturbe mais tu pourras sans doute m'éclairer. Ce n'est pas tout à fait
    TA biographie n'est-ce pas ? Parce qu'il y a des nouvelles où tu parles de ta maman, puis de ton papa et ensuite du décès de l'un
    avant l'autre etc ..les frères et soeurs (pas les mêmes prénoms ...) les âges qui diffèrent parfois ???
    MAIS EN FAIT QUI ES-TU ANNE POIRE ???
    Anne, ma soeur Anne, raconte-moi encore beaucoup de tendres moments !!!

     

    Brigitte :

    Je suis toute émue, Anne, je viens de terminer ton livre, j'ai presque pleuré à chaque texte, c'est très touchant, très beau, très simple.

     

    On y voit toutes nos enfances. Je ne l'ai pas lâché !

     

    C'est très chouette. Vraiment, c'est un beau livre, ce style, ces évocations.

     

    J'ai passé un moment extra, la dernière, surtout, " La maison de l'écrivain ", elle est pleine de nostalgie, c'est la dimension d'une vie, aussi, c'est plus qu'une anecdote, oui, c'est déterminant ! 

     

    Et puis " L'école de la rue de la Liberté", avec ce maître, qui attend, pendant qu'elle écrit, c'est extra.

     

    Ces fillettes, parfois fille unique, parfois famille nombreuse, c'est profond. J'ai vraiment passé un super bon moment !

     

    Plus que ça, après ça résonne.

     

    Sandrine :

    Je me suis régalée, c'est plein de tendresse, de gaîté. 
    Quelquefois proche de la tristesse, aussi.
    Je n'ai pas pu dormir avant d'avoir fini, un texte entraînant l'autre.

     

    Lisbeth :

    C'est délicieux, je n'ai fait que rire, avec le premier texte !
    En voyant la couverture, ça m'a donné envie de le lire.
     ça coule de source, c'est léger, aérien, c'est mignon tout plein ! 
     ça donne envie de continuer le bouquin ! 
     C'est vraiment très mignon. 
    J'aime bien cette formule de nouvelles. C'est court. C'est bien ! Et puis c'est vraiment surprenant, chaque histoire pourrait faire l'objet d'un livret à elle seule !

     

    Alain :

    j'ai pris du plaisir à vous lire. J'ai cru comprendre des choses qui n'étaient pas dites : que la finesse peut cohabiter avec les odeurs de pot de chambre ; qu'un écrivain reste la star des petites filles lettrées ; que ce qu'on aperçoit avec de petits yeux procure plus de richesses que la lecture avec les yeux de l'intelligence ; qu'il existe des pays à la langue perdue pour tout le monde sauf pour l'imagination universelle ; qu'un texte "aéré" cache des poussières subtiles et des coins de vie qui ne réclament aucune dramatisation forcée ; que la collection des timbres-poste parle davantage qu'une enquête policière ; qu'une famille nombreuse engendre plus de possibles que les fantasmes d'une enfant unique ; qu'un lit-radeau s'incruste mieux dans la mémoire du lecteur que les turpitudes commises dans la cabine d'une pute... Choses données à voir, mini-catalogue qui défile ; la vie rêvée, la vie vécue dans un même film en noir et en couleurs. Une séquence d'initiation avant que le rideau se lève...

     

    Je me souviendrai de cette fin au rasoir qui hache le récit qui annonce. Un non-événement alors que l'étoffe des phrases donnait comme l'amorce d'une grande histoire. D'amour ? d'admiration ? de curiosité ? Votre regard fouille dans les vies, dans le quotidien trivial. Un écrivain bruit là-dedans, diamant dans un taudis... On pensait que la petite fille - effet de l'émoi - deviendrait LA lectrice par excellence, LE public idéal et, pourquoi pas, l'épouse et l'infirmière... Vous cassez bellement le rêve trop simpliste de l'amateur qui croit lire une histoire qu'il porte... C'est bien habile de rester la seule maîtresse à votre bord !

     

    La nouvelle du recueil, "La carte postale", a été publiée, dans une version un peu plus courte, par la revue Utopia, en 2005.

     

    Quant au texte "Le Cimetière", il a eu l'occasion, lui aussi de paraître au préalable,
    dans une autre variante, aux éditions On @ Faim !
     

    avec l'éditeur des nouvelles, Pascal Arnaud,

    aux côtés de ses Livrets Cartes Postales,

    dont l'un reprend la première nouvelle du recueil,

    Transport épique  (parution décembre 2007) :



    Il suffit de rabattre, de timbrer, de poster...

    J'en ai encore quelques exemplaires, disponibles.

     

    Pour ceux qui ont envie de découvrir ces dix nouvelles, c'est possible.

    Il suffit de m'en réclamer un exemplaire...

     

    En effet, en 2015
    les éditions D'un Noir Si Bleu mettent la clef sous la porte,
    ne me restent que quelques rares exemplaires de ce recueil...

     

     Bonne lecture, voire relecture,

    et n'hésitez pas à m'envoyer vos commentaires !

     

    Pour les derniers exemplaires disponibles,

    18 euros par exemplaire

    frais d'expédition inclus

    et dédicace assurée.

     

    Une version PDF

    envoyée par les ondes

    est aussi envisageable :

    10 euros.

     

     

     

    Et pour les livres cartes postales,

    dont me restent aussi quelques exemplaires,

    on peut se renseigner ici.

    (...) Je me souviens avoir subi la distance totale avec une cage à oiseaux sous les semelles, mollets relevés, un aquarium sur les genoux, tout en essayant de bouger un peu, sans rien renverser, pour pouvoir répertorier avec Mathilde les plaques d’immatriculation de ceux qui nous croisaient ! Nous ne nous lassions pas de les compter : le gagnant était celui qui obtenait le plus de nombres pairs, ou impairs. Nous apprenions tant bien que mal à quoi correspondaient les 31, 57, 69, 75… Nous ne connaissions parfaitement que notre propre département. Les autos qui venaient d’un autre pays compliquaient tout. Il arrivait que nous tirions la langue, ou agitions la main, en signe de connivence, de sympathie. Nous dessinions avec des feutres. Un coup de frein, et nous débordions, parfois, malencontreusement, sur le skaï du siège, qu’un trou menaçait déjà…(...)

     

    La maison de l'écrivain

     

    Durant ces mémorables vacances, les satisfactions ne manquèrent pas : j’avais saturé le gros sac brun, de cuir râpé, de papa, de plein de volumes. Volupté maximale, j’en possédais non seulement de la bibliothèque verte, rouge et or, mais également des « poches », comme les grands. Je les avais lus, tous, au total ébahissement de Régine, laquelle m’interrogeait avec sévérité sur le contenu de chacun, afin de vérifier, probablement, l’étendue de ma compréhension.

    J’avais quelques semaines auparavant talonné mon oncle Vincent au marché, et découvert ce que l’on appelait les « occasions », des écornés de seconde main. Réunissant mes maigres économies – l’argent de poche n’était pas une pratique répandue chez nous, et mes grands-parents étant tous quatre décédés, je ne pouvais compter que sur les pièces rarement allouées par mes proches pour me constituer un modeste pécule – j’avais acquis un ouvra- ge extraordinaire. Sur la couverture, véritable tableau coloré, des taches se dilataient, abstraites, vives. Comme pour le test de Rorschach, chacun pouvait discerner son propre paysage intérieur. Toute une géographie, ou une géologie, étrennant sa sève.(...)

    La maison de l'écrivain

     

    Madame et Monsieur Jarnos affichaient une accumulation de figurines en plâtre peint – y compris Blanche Neige, dans sa jolie robe longue –, pas seulement les nains. J’admirais ces statuettes aux couleurs flamboyantes. Le champignon d’un carmin osé m’éblouissait, avec ses points de cobalt aussi irrésistiblement appétissants que son pied jaune citron, brillant. Papa et maman blêmissaient lorsque nous avions de la visite et qu’ils ne pouvaient éviter les jugements sarcastiques. « Vous avez vu où en sont les voisins ! » Ils fronçaient les sourcils, « C’est d’un kitsch ! », « Jusqu’où iront-ils ? », et le bon goût de leurs interlocuteurs les conduisait à ironiser, de concert, quant à la biche effarouchée qui trônait au cœur d’un massif de tulipes. De même en décembre face aux guirlandes clignotantes qui recouvraient en Chantilly la façade enneigée, sur laquelle escaladaient non pas un mais treize Père Noël chargés de paquets. Leurs amis raillaient. Cette mise en scène me paraissait pourtant féerique. J’étais fascinée par les boules que l’on renversait, pour en secouer les flocons : je dévorais des yeux ces univers baroques, tellement peu conformes à l’insipide et fade classicisme de mon milieu d’origine ! De cette représentation de gnomes, je ne percevais que l’irremplaçable magie.(...)

    La maison de l'écrivain

    (...) Heureuse de m'offrir ainsi à ses doigts, j'avais été bouleversée par ces vers si parents. Si différents. Omar Khayyam me rattrapait. Me retrouvait. Le boisé de ce vin poétique, non pas de chêne, de vanille, de cèdre ou de pin, mais de voyelles et de consonnes suffit à m'euphoriser. (...)

    Au gré de ses rencontres amoureuses, une jeune traductrice est mise en contact par ses amants avec le même poème d'Omar Khayyam, mais à travers des traductions toujours différentes.
    Simple hasard ou coïncidence troublante ? Découvertes et conséquences bouleversantes en découlent...

     

    Les livrets cartes postales valent 3 euros 50 pièce,

    disons 5 euros port compris.

     

    Et donc, depuis début 2024, aux éditions Carmina,

    vous pouvez retrouver La Maison de l'Écrivain

    dans une version livre d'art colorée...

     

    Cliquez ici pour tout savoir.

     

    La maison de l'écrivain

     

     

     

     


     


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